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Réunissant près de 250 membres, le SNA s’engage pour la défense des Antiquaires et des Galeries
Conférences et formations
Table-ronde – Mardi 16 décembre : L’intelligence artificielle au cœur des galeries et musées de demain ?
  Le Syndicat des Négociants en Art (SNA) et Guimet – Musée national des arts asiatiques présentent une table ronde inédite pour questionner la place de l’Intelligence Artificielle dans les métiers d’art le mardi 16 décembre 2025 à 19h00. Si l’IA est déjà connue dans le monde de l’art, ses implications concrètes restent encore largement méconnues. Cette rencontre vise à ouvrir le débat : l’IA est-elle un simple outil d’analyse ou un véritable partenaire de réflexion? Peut-elle enrichir l’expertise humaine, ou redessiner les pratiques professionnelles? PROGRAMME & INTERVENANTS MODÉRATION Jérôme Colombain, journaliste et podcasteur, spécialiste des transformations numériques. Ouverture : L’IA dans les musées et dans le marché de l’art Christophe Hioco (SNA) & Christopher Kermorvant (Teklia) → numérisation patrimoniale, reconnaissance d’images, détection de spoliations, interconnexion des bases de données. FORMER LES PROFESSIONNELS DE DEMAIN Olivier Babeau – Institut Sapiens, essayiste → comment adapter l’enseignement et les compétences face à l’essor de l’IA. PATRIMOINE & IA : L’EXEMPLE DU MUSÉE GUIMET Édouard de Saint-Ours - Conservateur des collections photographiques du musée Guimet → le programme HikarIA : l’IA au service de l’analyse et de la préservation des collections photographiques du Japon. MARCHÉ DE L’ART & DATA SCIENCE Sophie Perceval – Wondeur AI → cartographier la valeur artistique grâce à des modèles basés sur des millions de données.  NOUVELLE MÉDIATION CULTURELLE Valentin Schmite – Ask Mona → IA conversationnelle et expérience muséale personnalisée. Un cocktail dans la cour khmère du musée Guimet clôturera la soirée. Un moment privilégié pour échanger avec les intervenants et les professionnels du secteur. Rencontre réservée aux professionnels du marché de l’art.
Programme des formations - novembre 2025
Chères consœurs, chers confrères,   Conscient des enjeux auxquels notre profession est confrontée, le SNA continue de proposer des formations ciblées sur les questions juridiques, fiscales et administratives propres au métier de négociant d’art, afin de soutenir et de valoriser ses membres. Ces rendez-vous constituent une occasion privilégiée d’approfondir vos connaissances, d’anticiper les évolutions légales et fiscales, et d’échanger directement avec des experts sur les grandes questions du marché.   Les liens de connexion vous seront adressés la veille de chaque session.   Nous vous attendons nombreux !   Bien cordialement,   Christophe Hioco Président de la Commission Juridique et Fiscale du SNA
CONFÉRENCES GRAND PUBLIC - Qu’est-ce qu’un chef-d’œuvre (contemporain) ?
Dans le cadre de notre collaboration avec Beaux-Arts Magazine, nous proposons de juin à décembre 2025, une série de conférences culturelles autour de grands sujets d’histoire de l’art. Chaque rendez-vous sera l’occasion d’entendre un spécialiste invité, avec une intervention d’un membre expert du SNA, afin de croiser les regards et faire découvrir la richesse des métiers et des objets que nous défendons. Conférencière : Géraldine Bretault Introduction par Alexis Lartigue, membre du Conseil d'Administration du SNA Après avoir rappelé ce que renferme la notion de chef-d’œuvre dans l’histoire de l’art occidental, nous nous pencherons sur l’évolution de cette notion depuis le début du XXe siècle, marqué par l’apparition de formes d’art inédites. Du Ready Made à l’installation, de l’art conceptuel à la performance, quels sont les chefs-d’œuvre contemporains et à quoi les reconnaît-on ? Les chefs-d’oeuvre sont-ils éternels ? Informations Pratiques: Durée : 1h avec un temps de Question/Réponses Où & Quand : conférence en ligne sur Zoom © Sotheby’s – détails de : Banksy, Girl With Balloon, 2006   CONFÉRENCES PASSÉES : Lors de cette conférence, nous analyserons deux chefs-d’œuvre emblématiques de la photographie française : La Gare Saint-Lazare d’Henri Cartier-Bresson et Le Baiser de l’Hôtel de Ville de Robert Doisneau. Ces deux photographies sont l’illustration du mode opératoire de ces deux grands photographes, amis dans la vie, mais que tout ou presque opposait : la vision du moment décisif selon Cartier-Bresson, capturant la grâce de l’instant fugitif dans un décor urbain, et la photographie dite humaniste chez Doisneau, autour de la mise en scène poétique et tendre de l’amour au cœur de Paris, symbole d’une époque idéalisée. Si le style Art déco tire son nom de la célèbre Exposition internationale des Arts décoratifs et industriels modernes, qui se tint à Paris en 1925, ses origines complexes méritent d’être explorées. Souvent présenté comme un courant opposé à l’Art nouveau, apparu au lendemain de la Première Guerre mondiale, il s’avère plutôt issu de ce dernier et déjà en germe au début du siècle. Après des débuts en Belgique, l’Art déco consacre l’apogée des grands ensembliers français, qui conçoivent le décor comme un spectacle total, depuis les hôtels particuliers aux grands paquebots, au service d’une clientèle aisée et aux goûts sophistiqués. De Jacques-Émile Ruhlmann à Pierre Chareau, de Paul Landowski à Eileen Gray, du Théâtre des Champs-Élysées au Chrysler Building, un tour du monde qui fait la part belle au luxe et à la géométrie. À travers le rôle qu’il a joué dans les avant-gardes artistiques du début du XXe siècle, le masque a longtemps semblé une voie d’accès pertinente aux yeux des Occidentaux pour aborder les cultures du continent africain. Or le statut du masque, sa fonction dans les différentes cultures du continent africain nous révèlent au contraire l’ampleur du malentendu culturel. Des masques de deuil Dogon aux gardiens de reliquaire Fan en passant par les masques ekuk des Kwele en passant par les masques heaumes, c’est avant tout la richesse des cultures autochtones qui frappe les regards étrangers. Dans cette conférence, après avoir décrit les typologies et fonctions des masques, nous aborderons la notion de primitivismes avant de découvrir des masques contemporains, par des artistes contemporains ainsi que des créateurs issus de la diaspora. Les grandes collections d’antiquités égyptiennes conservées à Turin, Londres, Paris ou Berlin sont nées au XIXe siècle de la passion d’amateurs-collectionneurs comme Drovetti, Salt ou Champollion. Leurs découvertes, leurs rivalités et leurs acquisitions ont posé les fondations des musées d’égyptologie en Europe. Au-delà des grandes institutions, cette dynamique touche aussi des villes de province, à l’image de Roanne et de Joseph Déchelette. Entre fascination, science et diplomatie, cette conférence retrace l’histoire méconnue de ces pionniers et interroge l’héritage qu’ils ont laissé aux musées d’aujourd’hui.          Colorées, raffinées, parfois audacieuses, les estampes japonaises ont fasciné des générations d’amateurs d’art, tant au Japon qu’en Occident. Cette conférence propose une immersion dans le monde de l’Ukyo-e, littéralement « images du monde flottant », un genre artistique qui a fleuri durant l’époque d’Edo (1603–1868). Les principaux thèmes de prédilection des estampes seront abordés : scènes de théâtre kabuki, portraits de courtisanes élégantes, paysages poétiques, récits légendaires ou instantanés de la vie quotidienne. Produites en série grâce à la technique de la gravure sur bois, ces images populaires reflètent les goûts d’une société urbaine raffinée et curieuse. Les chefs-d’œuvre de maîtres tels que Hokusai, Hiroshige, Utamaro ou Sharaku permettent de saisir les subtilités d’un art à la fois codifié et inventif, oscillant entre tradition et innovation graphique. Enfin, un éclairage sera porté sur l’influence majeure des estampes japonaises sur les artistes occidentaux au tournant du XIXe siècle – de Monet à Van Gogh – dans un phénomène artistique connu sous le nom de japonisme. Entre esthétisme, narration et modernité, cette conférence révèle toute la richesse d’un art encore vibrant, qui continue d’inspirer artistes, historiens et collectionneurs à travers le monde !
Actualités
Projet Loi de Finance: Taxer les œuvres d’art, c’est fragiliser la culture française.

01/11/2025

Les œuvres d’art au cœur du débat budgétaire : le SNA alerte sur les conséquences d’un amendement risqué pour la culture française.     Dans le cadre du projet de loi de finances 2025, un amendement déposé à l’Assemblée nationale propose d’intégrer les œuvres d’art dans l’assiette de l’Impôt sur la Fortune Immobilière (IFI). Le Syndicat des Négociants en Art (SNA) alerte sur les conséquences économiques et culturelles d’une telle mesure, qui mettrait en péril le dynamisme du marché de l’art et le rayonnement de la France.   Une mesure inquiétante pour la culture et le patrimoine Alors que la France vient d’être profondément marquée par le drame du Louvre, un amendement budgétaire suscite une vive émotion dans le monde de la culture et du patrimoine. Celui-ci prévoit d’intégrer les œuvres d’art dans l’assiette de l’IFI, rétablissant de fait une forme d’“ISF Culture”. Le SNA alerte sur les conséquences d’une telle mesure : – une fuite probable des collections et du patrimoine hors de France, – un ralentissement du dynamisme culturel et économique, – et un affaiblissement des musées, privés d’importants dons et dations. Une atteinte au rôle culturel et économique des collectionneurs   Qualifier les œuvres d’art “d’actifs improductifs” relève d’une méconnaissance profonde de leur rôle. Les œuvres d’art participent activement à la vitalité culturelle et économique du pays : elles nourrissent le marché de l’art, favorisent le mécénat et enrichissent le patrimoine national. En imposant un tel dispositif, la France prendrait le risque d’affaiblir l’un de ses atouts majeurs : son rayonnement culturel et son attractivité internationale.   Le SNA appelle à la responsabilité et au bon sens Le Syndicat des Négociants en Art rappelle que défendre la culture, c’est défendre un écosystème entier — celui des galeries, des marchands, des artisans, des restaurateurs, des transporteurs, des maisons de ventes et de l’ensemble des métiers associés au marché de l’art. 📄 Lire la lettre ouverte complète  
CONFÉRENCES GRAND PUBLIC - Qu’est-ce qu’un chef-d’œuvre (contemporain) ?

28/10/2025

Dans le cadre de notre collaboration avec Beaux-Arts Magazine, nous proposons de juin à décembre 2025, une série de conférences culturelles autour de grands sujets d’histoire de l’art. Chaque rendez-vous sera l’occasion d’entendre un spécialiste invité, avec une intervention d’un membre expert du SNA, afin de croiser les regards et faire découvrir la richesse des métiers et des objets que nous défendons. Conférencière : Géraldine Bretault Introduction par Alexis Lartigue, membre du Conseil d'Administration du SNA Après avoir rappelé ce que renferme la notion de chef-d’œuvre dans l’histoire de l’art occidental, nous nous pencherons sur l’évolution de cette notion depuis le début du XXe siècle, marqué par l’apparition de formes d’art inédites. Du Ready Made à l’installation, de l’art conceptuel à la performance, quels sont les chefs-d’œuvre contemporains et à quoi les reconnaît-on ? Les chefs-d’oeuvre sont-ils éternels ? Informations Pratiques: Durée : 1h avec un temps de Question/Réponses Où & Quand : conférence en ligne sur Zoom © Sotheby’s – détails de : Banksy, Girl With Balloon, 2006   CONFÉRENCES PASSÉES : Lors de cette conférence, nous analyserons deux chefs-d’œuvre emblématiques de la photographie française : La Gare Saint-Lazare d’Henri Cartier-Bresson et Le Baiser de l’Hôtel de Ville de Robert Doisneau. Ces deux photographies sont l’illustration du mode opératoire de ces deux grands photographes, amis dans la vie, mais que tout ou presque opposait : la vision du moment décisif selon Cartier-Bresson, capturant la grâce de l’instant fugitif dans un décor urbain, et la photographie dite humaniste chez Doisneau, autour de la mise en scène poétique et tendre de l’amour au cœur de Paris, symbole d’une époque idéalisée. Si le style Art déco tire son nom de la célèbre Exposition internationale des Arts décoratifs et industriels modernes, qui se tint à Paris en 1925, ses origines complexes méritent d’être explorées. Souvent présenté comme un courant opposé à l’Art nouveau, apparu au lendemain de la Première Guerre mondiale, il s’avère plutôt issu de ce dernier et déjà en germe au début du siècle. Après des débuts en Belgique, l’Art déco consacre l’apogée des grands ensembliers français, qui conçoivent le décor comme un spectacle total, depuis les hôtels particuliers aux grands paquebots, au service d’une clientèle aisée et aux goûts sophistiqués. De Jacques-Émile Ruhlmann à Pierre Chareau, de Paul Landowski à Eileen Gray, du Théâtre des Champs-Élysées au Chrysler Building, un tour du monde qui fait la part belle au luxe et à la géométrie. À travers le rôle qu’il a joué dans les avant-gardes artistiques du début du XXe siècle, le masque a longtemps semblé une voie d’accès pertinente aux yeux des Occidentaux pour aborder les cultures du continent africain. Or le statut du masque, sa fonction dans les différentes cultures du continent africain nous révèlent au contraire l’ampleur du malentendu culturel. Des masques de deuil Dogon aux gardiens de reliquaire Fan en passant par les masques ekuk des Kwele en passant par les masques heaumes, c’est avant tout la richesse des cultures autochtones qui frappe les regards étrangers. Dans cette conférence, après avoir décrit les typologies et fonctions des masques, nous aborderons la notion de primitivismes avant de découvrir des masques contemporains, par des artistes contemporains ainsi que des créateurs issus de la diaspora. Les grandes collections d’antiquités égyptiennes conservées à Turin, Londres, Paris ou Berlin sont nées au XIXe siècle de la passion d’amateurs-collectionneurs comme Drovetti, Salt ou Champollion. Leurs découvertes, leurs rivalités et leurs acquisitions ont posé les fondations des musées d’égyptologie en Europe. Au-delà des grandes institutions, cette dynamique touche aussi des villes de province, à l’image de Roanne et de Joseph Déchelette. Entre fascination, science et diplomatie, cette conférence retrace l’histoire méconnue de ces pionniers et interroge l’héritage qu’ils ont laissé aux musées d’aujourd’hui.          Colorées, raffinées, parfois audacieuses, les estampes japonaises ont fasciné des générations d’amateurs d’art, tant au Japon qu’en Occident. Cette conférence propose une immersion dans le monde de l’Ukyo-e, littéralement « images du monde flottant », un genre artistique qui a fleuri durant l’époque d’Edo (1603–1868). Les principaux thèmes de prédilection des estampes seront abordés : scènes de théâtre kabuki, portraits de courtisanes élégantes, paysages poétiques, récits légendaires ou instantanés de la vie quotidienne. Produites en série grâce à la technique de la gravure sur bois, ces images populaires reflètent les goûts d’une société urbaine raffinée et curieuse. Les chefs-d’œuvre de maîtres tels que Hokusai, Hiroshige, Utamaro ou Sharaku permettent de saisir les subtilités d’un art à la fois codifié et inventif, oscillant entre tradition et innovation graphique. Enfin, un éclairage sera porté sur l’influence majeure des estampes japonaises sur les artistes occidentaux au tournant du XIXe siècle – de Monet à Van Gogh – dans un phénomène artistique connu sous le nom de japonisme. Entre esthétisme, narration et modernité, cette conférence révèle toute la richesse d’un art encore vibrant, qui continue d’inspirer artistes, historiens et collectionneurs à travers le monde !
Le SNA est partenaire de la soirée événement de l’Association Matignon Saint-Honoré

12/10/2025

Le Syndicat des Négociants en Art (SNA) est partenaire de la soirée événement de l’Association Matignon Saint-Honoré, qui se tiendra le lundi 20 octobre 2025, en ouverture de la Paris Art Week, au cœur du 8ᵉ arrondissement de Paris. Cette nouvelle édition rassemblera 37 galeries, représentant un large éventail de périodes et de médiums — de l’art ancien, moderne et contemporain aux arts décoratifs et au design.  Neuf galeries membres du SNA participeront à cette soirée et partageront leur expertise auprès des collectionneurs et du public. Intégrée cette année au programme officiel Évènements d’Art Basel Paris, la soirée confirme le rôle du quartier Matignon Saint-Honoré comme l’un des pôles culturels les plus dynamiques de la capitale.    Ouvert à toutes et à tous, l’événement invite collectionneurs, amateurs et professionnels à partager un moment privilégié au cœur de l’effervescence artistique parisienne. Retrouvez toutes les informations pratiques sur le site officiel de l'Association   Articles sur l'événement dans le N°8 du Journal des Antiquaires et Galeries        A&R FLEURY  /   HÉLÈNE BAILLY   /   FLORENCE DE VOLDÈRE UNIVERS DU BRONZE   /   RAPHAËL DURAZZO  /   ALEXIS LARTIGUE OPERA GALLERY  /   GALERIE PERRIN   /   GALERIE TAMÉNAGA    Plan de l'événement                                      

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